« J’étais nu près de Deborah nue, nos moiteurs...

« J’étais nu près de Deborah nue, nos moiteurs s’évitaient à présent, nous souriions vaguement et parallèlement à un ventilateur harassé qui grinçait au plafond. Il y avait une douceur extrême à ne plus se sentir beaux ni désirés. Nous n’avons pas dormi, je pense. Quoique le dos collé au drap, nous avons flotté sous d’invisibles palmes. »
François Salvaing
De purs désastres, édition aggravée

Votre panier

Votre COMPTE

Non connecté

Citations

« Pas de signe derrrière le signe
Instamment la liberté »
Évelyne Morin
Non lieu provisoire