« Aucun visage ne paraissait jamais aux wagons. Le train bleu n’avait pas de fenêtres. La glace voilait tout. » Pierre Cendors Le Voyageur sans voyage
Premières poésies (1950-1955)
Pleine lucarne
La Close
Encre
Rien qui porte un nom
La Chambre bouleversée
Le Vingt-deux octobre
Une clarté de passage
L’Appétit de Don Juan
Parfois
Ouverture du cri
Erratiques
Triptike
Insensément ton corps
Un oursin
Où qu’on va après ?
Maintenant la nuit
Rire parmi les hirondelles
Variations sur des carnets
Le Bec de la plume
L’Imaginaire & Matières du seuil
Toboggans des maisons
Dans les jardins mouillés
Mon chat son chien et le cochon du voisin
Circé ou Une agonie d’insecte
Stabat Mater
Couleur jardin
Profondeur du champ de vol
Billet pour le Pays doré
Les Choses n’en font qu’à leur tête