Premières poésies (1950-1955) Marcelin Pleynet
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« Il vaudrait mieux mourir avant d’aimer et d’être aimé, je me dis ça quelquefois. Ce ne serait pas forcément plus facile, mais peut-être un peu, je ne sais pas ? »
Dominique Fabre
Le Perron
L’auteur
Pleynet MarcelinLe plasticien
Dezeuze DanielLa Collection
Musée de l’os et de l’eau
Le Jour se lève encore
Le Bec de la plume
L’Œil tourné
L’Absent
L’Imaginaire & Matières du seuil
Ils
Marie-Gasparine
Valleuse
Pleine lucarne
Le Faraud séant
Maintenant la nuit
Ciel inversé 2
La Source
Chroniques d’un promeneur assis
Couleur jardin
Tombeau de Joseph-Ferdinand Cheval, facteur à Hauterives
Encre
Un alibi de rêve
Les Macchabs vites
L’Italien
Pour mon ours blanc
Mange-Matin
La Peur et son éclat
L’Or de l’air
Le Taureau, la rose, un poème
Tectonique des femmes
Ne me faites pas dire ce que je n’écris pas
Villégiatures & Cie
La Traversée des grandes eaux
Le Jour se lève encore
Le Bec de la plume
L’Œil tourné
L’Absent
L’Imaginaire & Matières du seuil
Ils
Marie-Gasparine
Valleuse
Pleine lucarne
Le Faraud séant
Maintenant la nuit
Ciel inversé 2
La Source
Chroniques d’un promeneur assis
Couleur jardin
Tombeau de Joseph-Ferdinand Cheval, facteur à Hauterives
Encre
Un alibi de rêve
Les Macchabs vites
L’Italien
Pour mon ours blanc
Mange-Matin
La Peur et son éclat
L’Or de l’air
Le Taureau, la rose, un poème
Tectonique des femmes
Ne me faites pas dire ce que je n’écris pas
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La Traversée des grandes eaux