Portrait de Léonard de Vinci.
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« J’étais nu près de Deborah nue, nos moiteurs s’évitaient à présent, nous souriions vaguement et parallèlement à un ventilateur harassé qui grinçait au plafond. Il y avait une douceur extrême à ne plus se sentir beaux ni désirés. Nous n’avons pas dormi, je pense. Quoique le dos collé au drap, nous avons flotté sous d’invisibles palmes. »
François Salvaing
De purs désastres, édition aggravée
L’auteur
La Collection
Où qu’on va après ?
La Tombe d’un jeu d’enfant
Billet pour le Pays doré
Trois anciens poèmes mis ensemble pour lui redire je t’aime
Vladivostok, aller simple
L’Or de l’air
Les Chiens du vent
Rien qu’une ombre inventée
L’Œil tourné
Le Voyageur sans voyage 
Mobilis in mobilier
Le Soleil oiseleur
Des garous et des loups
L’Etoffe des Corps
Colomb, Cortez & Cie
La Langue au chat
Matière du temps 2
Rimbaud, la tentation du soleil
L’Homme traversé
Pour mon ours blanc
La Mort de Woyzeck
Course libre
Insensément ton corps
Fin’ Amor
Les Eaux noires
Quel sangue... Quella piaga... Une guirlande pour Casanova
Mange-Matin
Le Faraud séant
Opéré bouffe