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« J’étais nu près de Deborah nue, nos moiteurs s’évitaient à présent, nous souriions vaguement et parallèlement à un ventilateur harassé qui grinçait au plafond. Il y avait une douceur extrême à ne plus se sentir beaux ni désirés. Nous n’avons pas dormi, je pense. Quoique le dos collé au drap, nous avons flotté sous d’invisibles palmes. »
François Salvaing
De purs désastres, édition aggravée

Rire parmi les hirondelles On disait Marie-Gasparine Variations sur des carnets Pleine lucarne Des garous et des loups Tacatam Blues L’Impatience Dans les jardins mouillés Pour apprendre la paix à nos enfants Entrée en matière Le Jour se lève encore Monsieur l’évêque avec ou sans mitre gLoire(s) Ciel inversé 2 Chair de Sienne Crobards et mounièques Stilb suivi de Iréniques Arènes 42 L’Ombre nue Les Chiens du vent Où qu’on va après ? Friches La hulotte n’a pas de culotte Rien qui porte un nom L’Homme traversé Les Mots d’Alice La Traversée des grandes eaux L’Ourlet du ciel Quel sangue... Quella piaga... Une guirlande pour Casanova