Une cigale dans la tête
Luce Guilbaud

Ouvrage épuisé

Une cigale dans la tête, Luce Guilbaud, illustrations de l'auteur, poèmes, collection « Le Farfadet bleu », coédition avec Les Écrits des Forges, 11x19,2 cm, 48 p., 1998, 7,50€, ISBN : 9782890464230

Présentation

Les poèmes de Luce Guilbaud s’attachent à l’essentiel : le vent du large qui « souffre quand il souffle », le bois mort où « fleurissent les mésanges charbonnières », le chat « qui part, sans dire adieu », les fourmis dans les jambes, l’arbre de Pomonie, les larmes de la nuit qui « deviennent rosée du matin », le « petit nuage fatigué » qui va se coucher « en rond autour du phare »... et les mots pour dire tout cela ? « C’est à ceux pour aimer que je donne mémoire », répond l’auteur.

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« La porte s’ouvre, un cardinal et un mannequin l’effleurent. Le coude de la jeune fille laisse une traînée de poudre sur sa manche renardée, c’est dimanche et pourtant les anges vomissent des arcs-en-ciel. Elle s’engouffre, presse le bouton 4. La porte s’ouvre, le silence l’affleure. »
Chloé Delaume
Sillages (Suite 411)

L’auteur

Le plasticien

La Collection

Les Eaux noires La Traversée des grandes eaux La Tombe d’un jeu d’enfant L’Imaginaire & Matières du seuil Couleur jardin La Toile de la foraine - Lyon : portrait L’Ourlet du ciel Lumière des mains, suivi de L’Incessant tourment d’espérances Chambre de feuilles Monsieur l’évêque avec ou sans mitre Chants de la tombée des jours La Ville autour Parfois Fragments d’un meurtre Encre Capitaine des myrtilles Villégiatures & Cie La Poignée de porte Corps antérieur La Mort de Woyzeck En toutes circonstances L’Italien Premières poésies (1950-1955) Zoophile contant fleurette Le Vent du dehors Le Loir atlantique Le Bruissement des mots Mobilis in mobilier À la queue leu leu / The Line (édition bilingue) Marie-Gasparine