Le plasticien
Vimard Jacques

Présentation

« Je crois que je me suis mis à peindre pour plaire à ma mère, la séduire... J’ai commencé par un acte de séduction puis c’est devenu un défi à la mort...
En 1962, à mon retour d’Algérie, j’ai pris conscience de mon isolement, à la fois familial et social. J’ai découvert Nietzsche. J’ai beaucoup peint. Peindre, c’était me remettre en question, avec pour repères Rimbaud, puis Artaud. »

voir à www.jacques-vimard.com

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« Le lévrier : rien de bien haut, mais tout ce galbe donne le vertige (et la désagréable impression de forniquer sur un meuble Louis XV). »
Pierre Senges
Zoophile contant fleurette

Aux éditions Cadex

  • L’Insu
    Guy Benoît
    1991
    9,50