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« J’étais nu près de Deborah nue, nos moiteurs s’évitaient à présent, nous souriions vaguement et parallèlement à un ventilateur harassé qui grinçait au plafond. Il y avait une douceur extrême à ne plus se sentir beaux ni désirés. Nous n’avons pas dormi, je pense. Quoique le dos collé au drap, nous avons flotté sous d’invisibles palmes. »
François Salvaing
De purs désastres, édition aggravée
L’auteur
Le plasticien
La Collection
Où qu’on va après ?
Cheminement vers le rien
La Tombe d’un jeu d’enfant
Premières poésies (1950-1955)
Matière du temps 2
Mon chat son chien et le cochon du voisin
Autobiographie d’un autre
Mobilis in mobilier
Une clarté de passage
L’Œuvre au Nord
Insensément ton corps
Le Sentiment de la nature
Dans les jardins mouillés
Course libre
L’Impatience
Monsieur l’évêque avec ou sans mitre
L’Insu
Friches
Le Bec de la plume
L’Italien
Marie-Gasparine
Dans la présente abjection des mondes
Fragments d’un désastre
Dits d’elle
Arènes 42
Les Madones du trottoir
Chair de Sienne
Chroniques d’un promeneur assis
Avec des ailes
Badaire Jean-Gilles