casinolevant 7750 London Escorts in UK Escort Directory https://www.voguerre.com Hull Escorts (51) - Top Verified Escorts https://www.voguerre.com Quel sangue... Quella piaga... Une guirlande pour Casanova - Cadex Editions

Quel sangue... Quella piaga... Une guirlande pour Casanova
Jean-Claude Hauc

publication 2000
7,50  (7,11  HT)

Quel sangue... Quella piaga... Une guirlande pour Casanova, Jean-Claude Hauc, essai, 5 dessins de Daphné Brottet, coll. L'Anthrope, 12x16,5 cm, 32 p., 2000, ISBN : 2.913388.20.5

Présentation

Le premier souvenir intime de Casanova est une hémorragie survenue à l’âge de huit ans et soignée par une guérisseuse. La sorcellerie ne parviendra pas, pourtant, à le guérir définitivement. Il y aura donc de brusques retours, parfois en pleine « lutte » amoureuse. Telle jeune femme se retrouvera, dans quelque position scabreuse, brusquement constellée de gouttelettes de sang. A son plus grand effroi, ou ravissement. Mais l’aventurier et séducteur retrouvera le sang par d’autres voies. Fausse couche, duels... Devant le vertige procuré par son épaisseur, sa couleur à la fois inquiétante et envoûtante, Casanova ne s’attarde pas trop, préfère le rire et la poursuite du catalogo de ses conquêtes. Leur bonheur, aussi. Le sang, ici, n’a que peu à voir avec la violence et la brutalité. « Il constitue simplement le sceau de l’amour » comme le dit superbement Chantal Thomas, citée par Hauc, qui met en valeur, dans cette guirlande bellement illustrée par Daphné Brottet, la vitalité et la gaieté du désespoir du personnage.

 Frédéric Joly (extrait), in Le Mensuel, 2003.

Extrait

Tous ses lecteurs le savent, Casanova aime à s’épancher. A se distiller et se répandre. Larmes, sperme, sécrétions diverses et sang. Ce sang dont il ne saurait désormais avoir peur. Qu’il s’agisse du sien ou de celui, délicieux, de ses jeunes maîtresses. Car sur ce point également, Casanova est bien le frère de Don Giovanni : “sua passion predominante è la giovin principiante”. Ainsi combien en aura-t-il « cueilli », comme il a coutume de dire, de ces fleurs rouges, tout au long de son existence ? Les casanovistes en ont dénombré vingt-huit. Depuis Nanette et Marton qu’il déflora l’une et l’autre dans le même temps où elles se partageaient sa propre virginité, jusqu’à Lia, la jeune juive dont la grâce illumine l’un des derniers chapitres de son livre. Mais que peut signifier ici le fait d’avancer un chiffre ? La vie de Casanova n’est qu’une longue suite de brefs instants de bonheur. Une guirlande de plaisirs enchaînés les uns aux autres.

Votre panier

Votre COMPTE

Non connecté

« Trois hérons traversent le ciel de Nantes,
un beau soir de mars de l’an mil neuf cent nonante
neuf : j’ai noté au vol ce hiéroglyphe. »
Jean-Pierre Chambon
Labyrinthe

L’auteur

Le plasticien

La Collection

Circé ou Une agonie d’insecte Encyclopédie cyclothymique Le Jour se lève encore Musée de l’os et de l’eau Carnets du graphomane La Liesse populaire en France La Mort est en feu La Langue au chat Capitaine des myrtilles Fragments d’une ville fantôme Fin’ Amor Stabat Mater Coquerets et coquerelles Cheminement vers le rien Un éditeur... Voilà ! Animalimages Bavard au cheval mort et compagnie Fragments d’un meurtre Toboggans des maisons gLoire(s) Le Loir atlantique De purs désastres, édition aggravée Variations sur des carnets Une clarté de passage L’Impossible Manque Pour apprendre la paix à nos enfants Le Bel aujourd’hui Toro Fragments d’un désastre Pour mon ours blanc