« Aucun visage ne paraissait jamais aux wagons. Le train bleu n’avait pas de fenêtres. La glace voilait tout. » Pierre Cendors Le Voyageur sans voyage
Crobards et mounièques
Le Taureau, la rose, un poème
Une voix pour Orphée
Chants de la tombée des jours
L’Errance, la dérive, la trace
Lumière des mains, suivi de L’Incessant tourment d’espérances
Les Chiens du vent
Course libre
Le Pôle magnétique
Stabat Mater
Casanova et la belle Montpelliéraine
De purs désastres, édition aggravée
L’Or de l’air
Premières poésies (1950-1955)
La Momie de Roland Barthes
Rien qui porte un nom
Zoophile contant fleurette
L’Existence poétique
La Guerre entre les arbres
Parfois
Les Mots d’Alice
L’Ordinaire, la métaphysique
Résidences secondaires
Fragments d’une ville fantôme
Où qu’on va après ?
Fin’ Amor
Triptike
Rien qu’une ombre inventée
La Chambre bouleversée
Ils